« Déni, confusion, torpeur, sidération, panique, désarroi, impuissance… Créer à partir de la contagion permet de déployer le large éventail des affres humaines. Illustrée en peinture par Raphaël, Rubens, Goya ou encore Géricault, l’épidémie inspira également de nombreux écrivains. »
Albert Camus, La Peste, 1947.
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, 1951.
Marcel Pagnol, Les Pestiférés, 1977.
Jean-Marie Gustave Le Clézio, La Quarantaine, 1995.
Laura Kasischke, En un monde parfait, 2009.
Philip Roth, Némésis, 2010.
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